Metaprogramme SYALSA
Consortia

Consortia

Le métaprogramme SYALSA encourage la construction de consortia interdisciplinaires pour faciliter les interactions entre scientifiques dans le périmètre du métaprogramme. En 2021, 7 consortia ont ainsi démarré.

Dans ce dossier

Pour la définition d'un modèle de transformation alimentaire durable à l'horizon 2050

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Le projet vise à évaluer comment les changements alimentaires réduisant l’exposition à la chlordécone impacteraient à la fois l’amont (systèmes de cultures) et l’aval (qualité nutritionnelle et coût du régime) jusqu’à la quantification des impacts de santé.

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Ce consortium doit permettre de créer une dynamique de partage des connaissances, d’approches, d’outils d’évaluation et des dispositifs d’expérimentation pour traiter le continuum production – pratiques agronomiques – devenir et transferts des contaminants – impacts sanitaires.

Le consortium souhaite construire une communauté multidisciplinaire dont l’expertise porte sur les bases de données des caractéristiques des produits alimentaires.

L'objectif de ce consortium est de répondre à la question interdisciplinaire suivante : Quelles dimensions du système alimentaire contrôlent les apports de nutriments essentiels et quelles sources permettraient de les augmenter/optimiser avec des objectifs de durabilité et de santé globale ?

Le consortium vise à évaluer les pistes d'évolution de l'offre locale agricole guadeloupéenne qui respectent les préférences des consommateurs et limitent les impacts sur l'environnement.

Le consortium vise à évaluer les expositions aux aliments végétaux ultra-transformés en fonction des différentes périodes de la vie et leur impact sur l’environnement, à mieux qualifier la nature et la qualité nutritionnelle des produits en amont et en aval, et à quantifier leur consommation à différentes périodes de vie par l’analyse de bases de données existantes, et enfin à mieux comprendre les éléments qui déterminent cette consommation.

Le projet vise à déterminer quelle amplitude d’accroissement de la part des légumineuses (et lesquelles) dans notre alimentation est possible en France et quelles sont les conséquences de cette augmentation de la consommation des légumineuses sur les flux microbiens.